Presse

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“Des marionnettes de glaces pour Les Vagues de Virigina Wolf.”

 

“Une émission enregistrée in situ au Théâtre de la Tempête, dans la Cartoucherie du Bois de Vincennes (Paris), à l’occasion d’une répétition du spectacle Les Vagues.”

Tous en scène – Aurélie Charon

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 « Les Vagues sont mise en avant d’éléments sensibles, comme les souvenirs et les sentiments qui, face au temps qui s’écoule inéluctablement, ne sont que des fragments d’humanité dans l’univers…” 

Par Gérard Rossi – l’Humanité

 

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“De façon sensible, elle (Elise Vigneron) nous rappelle l’importance de vivre l’instant présent, si dérisoire mais précieux, et de rester attentifs à la porosité entre les mondes. Cette évovation de la disparition laissera des traces”

Léna Martinelli – Les trois coups

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« L’étonnant travail d’Elise Vigneron plonge les spectateurs dans le monde de la sensation comme de la contemplation ; avec elle, ils voyagent même jusqu’au fantastique, quand plânent dans les airs les poupées de glace. »
Par Fabienne Pascaud – Télérama

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« La metteure en scène, marionnettiste et plasticienne, façonne un spectacle pour choeur de glace en une expérience sensible du temps qui s’écoule, de l’enfance à la maturité… un pari réussi. »
Par Callysta Croizer – Les Echos

« […] Les Vagues est une création profondément originale qui imprègne l’esprit d’images poétiques (et aquatiques). Elles y restent gravées bien longtemps après la fin de la représentation.»
Par Cristina Marino – Le Monde

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« Aux longs monologues originels, la mise en scène favorise souvent le mouvement. Celui de ses marionnettes, qui sont envoyées dans les airs […] Mais aussi celui de ceux qui en tirent les […] ficelles, qui saisissent les corps gelés, les entraînent et dansent avec eux »
Par Lara Clerc – Libération

La compagnie

 

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« Pour trois ans, la marionnettiste Elise Vigneron sera artiste associée au TCC – Théâtre Châtillon-Clamart. Avec les spectacles Lands, habiter le monde et Glace, elle donne a découvrir en profondeur son travail singulier autour de la glace. »
Par Anaïs Heluin

Lands, habiter le monde

 

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« Aborder l’écologie ou le réchauffement climatique au travers d’oeuvres éphémères. C’est ce qu’entreprend la plasticienne et metteuse en scène Elise Vigneron et une quarantaine de participants. Un moment poétique et sonore, à voir en famille. »
Par Bérénice Bury

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« La performance Lands, habiter le monde, quasiment muette, faisait la part belle à l’expression physique : l’occasion de nouer des liens forts entre ces inconnus. »
Par Baptiste Labarre

« Elise Vigneron signe sans doute l’une des adaptations les plus libres et sensibles du texte de Maurice Maeterlinck, La Mort de Tintagiles : elle offre une caisse de résonance à ses mots et son mystère, grâce notamment à l’utilisation subtile de la marionnette dans le rôle de l’Enfant (Tintagiles) personnage métaphorique, incarnation de la fragilité et de la pureté. »
Par Marie-Eve Barbier

« C’est une œuvre puissamment poétique, qui montre toute la maîtrise d’Elise Vigneron et sa maturité artistique. Parce qu’elle émeut puissamment, parce qu’elle met dans l’inconfort, parce qu’elle déconcerte et provoque, c’est une œuvre dont on peut sans aucun doute dire qu’elle est réussie. »
Par Mathieu Dochtermann

« « L’Enfant » fidèle à la tradition symboliste, nous fait vivre une expérience plus sensorielle que dicible, l’histoire d’un combat et la tentative d’un échappée restituée par une scénogrpaphie saisissante qui englobe le public en son sein. Ce théâtre à la parole parfois hiéroglyphique produit des images fortes, où le mystère a toute sa place. Un mystère précisément porteur de sens, dont la forme se rapproche peut-être au plus près de ce qu’on pourrait appeler le tissu diffus des sensations ; si diffciles à nommer, dont la vision permet parfois mieux d’en comprendre quelque chose. »
Par Noémie Regnaut

« La metteuse en scène a choisi de plonger le public dans un espace qu’il devra traverser, à l’invitation de la comédienne, comme pour mieux éprouver la peur, la menace, et partir, aussi, à la recherche de l’enfant. La force de l’univers scénographique et sonore, ainsi que la poésie de la relation entre les personnages décuplent l’émotion. »
Par Nathalie Yokel

Les Marionnettes de Glace / Reportage télévisé sur la construction de la marionnette de glace.

” Anywhere “, le complexe glaciaire

Interview d’Élise Vigneron dans Les carnets de création d’Aude Lavigne

Oedipus’s meltdown: an ice puppet disappears – in pictures

« Ce spectacle fascine par sa lenteur et sa beauté envoutante, le jeu délicat avec les matières et la pénombre, sa force poétique et cruelle. Du bel art ! »
Par Thierry voisin

« Anywhere a l’élégance et la pudeur d’un haïku, ces poèmes courts et codifiés issus du Japon, esquissant des paysages intérieurs. Et comme laissés en suspens. […] Pour nous conduire dans les profondeurs de cette « marche du monde », Élise Vigneron crée un univers étrange et feutré qui économise la lumière et les mots pour mieux mettre en valeur les étapes de transformation de la matière eau. »
Par Isabelle Appy

« Esquivant largement l’écueil d’une énième réécriture du mythe, ANYWHERE ravit par la libre lecture qu’elle veille à garantir. À rebours de l’époque, Anywhere ose une temporalité autre et défie l’urgence devenue ordinaire. »
Par Agnès Doppf

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Peu de spectacles méritent à ce point d’être qualifiés de poème visuel. Une œuvre subtile, sombre et magnifique, comme un tableau en clair-obscur peint par de La Tour qui prendrait vie sous les yeux du public.
Par Mathieu Dochtermann

Tour à tour automate, vieille femme jouant Narcisse, utilisant sa silhouette pour danser avec l’oubli, délicate et inquiétante, Élise Vigneron, diplômée de l’école des arts de la marionnette de Charleville-Mézières, explore ces territoires fragiles avec un talent fou.
Par Delphine Michelangeli

Des jeux d’ombres dans un décor poétique d’une grande finesse propre au théâtre français de l’Entrouvert. Ici aussi on joue avec assurance, mais d’une façon silencieuse, très sensible. Un déchirement qui forme, à travers de gracieuses et subtiles images, un paysage à l’atmosphère spirituelle.
Par Heidi Jäger

Enveloppés dans une belle lumière, le public (debout, assis, à genoux) et la jeune femme sur la scène affrontent en 7 stations leurs angoisses métaphysiques et recherchent avec précaution leur moi.
Par Muriel Camus

« Ici, [Elise Vigneron] imagine une sorte de rituel où la fonte de panneaux de glace impose aux deux artistes de renégocier sans cesse leur rapport au plateau. D’inventer des manières toujours nouvelles de l’occuper, de patauger ensemble. »
Par Anaïs Heluin

Une tentative de rencontre là aussi concluante et réussie où l’univers des deux artistes se sert mutuellement faisant jaillir un moment de poésie pure que symbolisent les figurines translucides d’Elise Vigneron.
Par Emanuel Serafini

On ne pouvait pas espérer mieux comme véritable rencontre entre deux femmes qui ne se connaissaient pas : breakeuse et chorégraphe exigeante, Anne Nguyen a trouvé chez Elise la même rigueur, mais aussi une écriture visuelle prompte à troubler le regard sur les corps.
Par Nathalie Yokel

Sur une base de techno signée Tom Flynn le duo se manipule l’une l’autre. Anne tient des postures hip-hop inversées et Elise lui emboîte le pas. C’est vraiment cela, emboîter le pas. L’une est le moteur de l’autre. Elles doivent lutter contre les éléments. Le rythme est fou dans ce questionnement très actuel sur l’équilibre des choses. Et, mais cela doit rester secret, la fin est un petit bijou !
Par Amélie Blaustein Niddam