Presse
TRACES / LANDS
« TRACES est une adaptation du projet LANDS, Habiter le monde, conçue pour les Etats-Unis, une création participative qui explore la matière glace comme un outil de mémoire collective.
Pensé pour l’espace public, TRACES se déploie sur quatre jours sous la forme d’un projet collaboratif qui a pour point de départ le moulage des pieds en glace de vingt-cinq participants de tous âges. Ces portraits éphémères laissent apparaître la singularité de chacun, tissent des récits collectifs et sont le miroir de notre transformation. »
Par Institut français magazine
« Vigneron sees the iced foot art – I still struggle with how to describe this – as much like footprints in sand, a temporary if not fleeting reminder of existence. The message is not so much a story of mortality but more so one of nature, she said, and an expression of our place in that world.
There is a fragility and vulnerability to life and we as the world’s inhabitants, Vigneron said. Ice, for her, captures that nature. »
Par Gary Graig
MIZU
France 3 Régions – ICI 19/20
Émission du vendredi 26/09/25
« Le public retient son souffle. Vie et mort se jouent dans ces 40 minutes d’un spectacle philosophique et poétique entre douceur et dernier élan de force. Dans ce théâtre à ciel ouvert, tout est suspendu, un rien peut faire éclater la tranquillité du lieu et de l’instant. Avec une technique exigeante et un sens du temps d’arrêt, les trois artistes composent avec Mizu une métaphore puissante de l’imprévisibilité et de la fugacité de la vie. » Par Luna Beaudouin-Goujon le 29/09/2025
les vagues
« Des marionnettes de glaces pour Les Vagues de Virigina Wolf. »
« Une émission enregistrée in situ au Théâtre de la Tempête, dans la Cartoucherie du Bois de Vincennes (Paris), à l’occasion d’une répétition du spectacle Les Vagues. »
Tous en scène – Aurélie Charon
« Les Vagues sont mise en avant d’éléments sensibles, comme les souvenirs et les sentiments qui, face au temps qui s’écoule inéluctablement, ne sont que des fragments d’humanité dans l’univers… »
Par Gérard Rossi – l’Humanité
« De façon sensible, elle (Elise Vigneron) nous rappelle l’importance de vivre l’instant présent, si dérisoire mais précieux, et de rester attentifs à la porosité entre les mondes. Cette évovation de la disparition laissera des traces »
Léna Martinelli – Les trois coups
« La metteure en scène, marionnettiste et plasticienne, façonne un spectacle pour choeur de glace en une expérience sensible du temps qui s’écoule, de l’enfance à la maturité… un pari réussi. »
Par Callysta Croizer – Les Echos
« […] Les Vagues est une création profondément originale qui imprègne l’esprit d’images poétiques (et aquatiques). Elles y restent gravées bien longtemps après la fin de la représentation.»
Par Cristina Marino – Le Monde
« Aux longs monologues originels, la mise en scène favorise souvent le mouvement. Celui de ses marionnettes, qui sont envoyées dans les airs […] Mais aussi celui de ceux qui en tirent les […] ficelles, qui saisissent les corps gelés, les entraînent et dansent avec eux »
Par Lara Clerc – Libération
La compagnie
L’Enfant
« Elise Vigneron signe sans doute l’une des adaptations les plus libres et sensibles du texte de Maurice Maeterlinck, La Mort de Tintagiles : elle offre une caisse de résonance à ses mots et son mystère, grâce notamment à l’utilisation subtile de la marionnette dans le rôle de l’Enfant (Tintagiles) personnage métaphorique, incarnation de la fragilité et de la pureté. »
Par Marie-Eve Barbier
« C’est une œuvre puissamment poétique, qui montre toute la maîtrise d’Elise Vigneron et sa maturité artistique. Parce qu’elle émeut puissamment, parce qu’elle met dans l’inconfort, parce qu’elle déconcerte et provoque, c’est une œuvre dont on peut sans aucun doute dire qu’elle est réussie. »
Par Mathieu Dochtermann
« « L’Enfant » fidèle à la tradition symboliste, nous fait vivre une expérience plus sensorielle que dicible, l’histoire d’un combat et la tentative d’un échappée restituée par une scénogrpaphie saisissante qui englobe le public en son sein. Ce théâtre à la parole parfois hiéroglyphique produit des images fortes, où le mystère a toute sa place. Un mystère précisément porteur de sens, dont la forme se rapproche peut-être au plus près de ce qu’on pourrait appeler le tissu diffus des sensations ; si diffciles à nommer, dont la vision permet parfois mieux d’en comprendre quelque chose. »
Par Noémie Regnaut
« La metteuse en scène a choisi de plonger le public dans un espace qu’il devra traverser, à l’invitation de la comédienne, comme pour mieux éprouver la peur, la menace, et partir, aussi, à la recherche de l’enfant. La force de l’univers scénographique et sonore, ainsi que la poésie de la relation entre les personnages décuplent l’émotion. »
Par Nathalie Yokel
Anywhere TRANSMISSION
« A marionette made of ice will melt your heart in this exquisite string-marionette work. This Oedipus is ephemeral, a fallen, frozen puppet that gradually melts, then appears as mist and finally disappears in the forest. This Oeadipus speaks cold truths about our bodies, our environment, our fragilities, and our wanderings in the infinite circle of renewal. »
Par Chloe Rabinowitz
« Positioned in the middle of a frozen pond, the two interact in a poetic space of psychic aura and musings about the fragile state of our ecology. The body and the universe are precariously positioned in this duet, dueling with the constancy of change, or transformation at HERE. »
Par Celia Ipiotis
« A marionette made of ice plays a wandering, melting disappearing Oedipus accompanied by his daughter Antigone in this puppet piece by the French company Théâtre de l’Entrouvert, which uses bits of text from Henry Bauchau’s nocel « Oedipus on the Road ». Conceived and directed by Elise Vigneron, whose interest in ephemerality has led her to work repeatedly with ice puppets, it is presented with the Chicago International Puppet Theater Festival as part of Basil Twist’s Dream Music Puppetry program. » »
Par Laura Collins-Hughes
Anywhere
Les Marionnettes de Glace / Reportage télévisé sur la construction de la marionnette de glace.
» Anywhere « , le complexe glaciaire
Interview d’Élise Vigneron dans Les carnets de création d’Aude Lavigne
Oedipus’s meltdown: an ice puppet disappears – in pictures
« Ce spectacle fascine par sa lenteur et sa beauté envoutante, le jeu délicat avec les matières et la pénombre, sa force poétique et cruelle. Du bel art ! »
Par Thierry voisin
« Anywhere a l’élégance et la pudeur d’un haïku, ces poèmes courts et codifiés issus du Japon, esquissant des paysages intérieurs. Et comme laissés en suspens. […] Pour nous conduire dans les profondeurs de cette « marche du monde », Élise Vigneron crée un univers étrange et feutré qui économise la lumière et les mots pour mieux mettre en valeur les étapes de transformation de la matière eau. »
Par Isabelle Appy
« Esquivant largement l’écueil d’une énième réécriture du mythe, ANYWHERE ravit par la libre lecture qu’elle veille à garantir. À rebours de l’époque, Anywhere ose une temporalité autre et défie l’urgence devenue ordinaire. »
Par Agnès Doppf
traversées
Peu de spectacles méritent à ce point d’être qualifiés de poème visuel. Une œuvre subtile, sombre et magnifique, comme un tableau en clair-obscur peint par de La Tour qui prendrait vie sous les yeux du public.
Par Mathieu Dochtermann
Tour à tour automate, vieille femme jouant Narcisse, utilisant sa silhouette pour danser avec l’oubli, délicate et inquiétante, Élise Vigneron, diplômée de l’école des arts de la marionnette de Charleville-Mézières, explore ces territoires fragiles avec un talent fou.
Par Delphine Michelangeli
Des jeux d’ombres dans un décor poétique d’une grande finesse propre au théâtre français de l’Entrouvert. Ici aussi on joue avec assurance, mais d’une façon silencieuse, très sensible. Un déchirement qui forme, à travers de gracieuses et subtiles images, un paysage à l’atmosphère spirituelle.
Par Heidi Jäger
Enveloppés dans une belle lumière, le public (debout, assis, à genoux) et la jeune femme sur la scène affrontent en 7 stations leurs angoisses métaphysiques et recherchent avec précaution leur moi.
Par Muriel Camus
AXIS MUNDI
Sur une base de techno signée Tom Flynn le duo se manipule l’une l’autre. Anne tient des postures hip-hop inversées et Elise lui emboîte le pas. C’est vraiment cela, emboîter le pas. L’une est le moteur de l’autre. Elles doivent lutter contre les éléments. Le rythme est fou dans ce questionnement très actuel sur l’équilibre des choses. Et, mais cela doit rester secret, la fin est un petit bijou !
Par Amélie Blaustein Niddam



