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Lands, habiter le monde

 

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« Aborder l’écologie ou le réchauffement climatique au travers d’oeuvres éphémères. C’est ce qu’entreprend la plasticienne et metteuse en scène Elise Vigneron et une quarantaine de participants. Un moment poétique et sonore, à voir en famille. »
By Bérénice Bury

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« La performance Lands, habiter le monde, quasiment muette, faisait la part belle à l’expression physique : l’occasion de nouer des liens forts entre ces inconnus. »
By Baptiste Labarre

« Elise Vigneron signe sans doute l’une des adaptations les plus libres et sensibles du texte de Maurice Maeterlinck, La Mort de Tintagiles : elle offre une caisse de résonance à ses mots et son mystère, grâce notamment à l’utilisation subtile de la marionnette dans le rôle de l’Enfant (Tintagiles) personnage métaphorique, incarnation de la fragilité et de la pureté. »
By Marie-Eve Barbier

« C’est une œuvre puissamment poétique, qui montre toute la maîtrise d’Elise Vigneron et sa maturité artistique. Parce qu’elle émeut puissamment, parce qu’elle met dans l’inconfort, parce qu’elle déconcerte et provoque, c’est une œuvre dont on peut sans aucun doute dire qu’elle est réussie. »
By Mathieu Dochtermann

« « L’Enfant » fidèle à la tradition symboliste, nous fait vivre une expérience plus sensorielle que dicible, l’histoire d’un combat et la tentative d’un échappée restituée par une scénogrpahie saississante qui englobe le public en son sein. Ce théâtre à la parole parfois hiéroglyphique produit des images fortes, où le mystère a toute sa place. Un mystère précisément porteur de sens, dont la forme se rapproche peut-être au plus près de ce qu’on pourrait appeler le tissu diffus des sensations ; si diffciles à nommer, dont la vision permet parfois mieux d’en comprendre quelque chose. »
By Noémie Regnaut

« La metteuse en scène a choisi de plonger le public dans un espace qu’il devra traverser, à l’invitation de la comédienne, comme pour mieux éprouver la peur, la menace, et partir, aussi, à la recherche de l’enfant. La force de l’univers scénographique et sonore, ainsi que la poésie de la relation entre les personnages décuplent l’émotion. »
By Nathalie Yokel

Les Marionnettes de Glace / TV report on the construction of the ice puppet.

” Anywhere “, le complexe glaciaire

Interview with Élise Vigneron in Les carnets de création by Aude Lavigne

Oedipus’s meltdown: an ice puppet disappears – in pictures

« Ce spectacle fascine par sa lenteur et sa beauté envoutante, le jeu délicat avec les matières et la pénombre, sa force poétique et cruelle. Du bel art ! »
By Thierry voisin

« Anywhere a l’élégance et la pudeur d’un haïku, ces poèmes courts et codifiés issus du Japon, esquissant des paysages intérieurs. Et comme laissés en suspens. […] Pour nous conduire dans les profondeurs de cette « marche du monde », Élise Vigneron crée un univers étrange et feutré qui économise la lumière et les mots pour mieux mettre en valeur les étapes de transformation de la matière eau. »
By Isabelle Appy

« Esquivant largement l’écueil d’une énième réécriture du mythe, ANYWHERE ravit par la libre lecture qu’elle veille à garantir. À rebours de l’époque, Anywhere ose une temporalité autre et défie l’urgence devenue ordinaire. »
By Agnès Doppf

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Peu de spectacles méritent à ce point d’être qualifiés de poème visuel. Une œuvre subtile, sombre et magnifique, comme un tableau en clair-obscur peint par de La Tour qui prendrait vie sous les yeux du public.
By Mathieu Dochtermann

Tour à tour automate, vieille femme jouant Narcisse, utilisant sa silhouette pour danser avec l’oubli, délicate et inquiétante, Élise Vigneron, diplômée de l’école des arts de la marionnette de Charleville-Mézières, explore ces territoires fragiles avec un talent fou.
By Delphine Michelangeli

Des jeux d’ombres dans un décor poétique d’une grande finesse propre au théâtre français de l’Entrouvert. Ici aussi on joue avec assurance, mais d’une façon silencieuse, très sensible. Un déchirement qui forme, à travers de gracieuses et subtiles images, un paysage à l’atmosphère spirituelle.
By Heidi Jäger

Enveloppés dans une belle lumière, le public (debout, assis, à genoux) et la jeune femme sur la scène affrontent en 7 stations leurs angoisses métaphysiques et recherchent avec précaution leur moi.
By Muriel Camus

« Ici, [Elise Vigneron] imagine une sorte de rituel où la fonte de panneaux de glace impose aux deux artistes de renégocier sans cesse leur rapport au plateau. D’inventer des manières toujours nouvelles de l’occuper, de patauger ensemble. »
By Anaïs Heluin

Une tentative de rencontre là aussi concluante et réussie où l’univers des deux artistes se sert mutuellement faisant jaillir un moment de poésie pure que symbolisent les figurines translucides d’Elise Vigneron.
By Emanuel Serafini

On ne pouvait pas espérer mieux comme véritable rencontre entre deux femmes qui ne se connaissaient pas : breakeuse et chorégraphe exigeante, Anne Nguyen a trouvé chez Elise la même rigueur, mais aussi une écriture visuelle prompte à troubler le regard sur les corps.
By Nathalie Yokel

Sur une base de techno signée Tom Flynn le duo se manipule l’une l’autre. Anne tient des postures hip-hop inversées et Elise lui emboîte le pas. C’est vraiment cela, emboîter le pas. L’une est le moteur de l’autre. Elles doivent lutter contre les éléments. Le rythme est fou dans ce questionnement très actuel sur l’équilibre des choses. Et, mais cela doit rester secret, la fin est un petit bijou !
By Amélie Blaustein Niddam